Parlons plutôt des jours qui s’allongent si vous voulez bien. Ou des années 80 ? C’est bien ça comme sujet, les années 80.
Enfin, je ne sais pas si c’est un bon sujet mais j’ai fait une petite plongée dans cette époque à la faveur d’un repas de nouvelle année dans la campagne morbihannaise. Avec ma sœur (celle qui aime la bière) et sur sollicitation de la reine mère, nous avons mis le nez dans de vieux cartons. Clairement, on a vite compris que nos parents essayaient d’éradiquer toute trace de notre vie dans leur maison m’enfin, il en faut plus pour nous vexer, surtout quand on est ensemble.
Dans ces cartons, on a notamment découvert des trésors vestimentaires qui nous ont bien fait marrer, surtout quand on les a essayés. Je pense à des pantalons en velours immenses, des pulls qui vont vraiment faire plaisir à des jeunes gens stylés lors de leur prochaine virée chez Emmaüs et des shorts d’un temps où les mecs (en tout cas mon père) aimaient les porter bien hauts sur la cuisse.
Côté objets, ma sœur s’est demandée quand sa collection de… cartes téléphoniques finirait par prendre de la valeur. Internet me dit que c’est une question de rareté, celles tirées en grand nombre d’exemplaires (500 000 par exemple) valent quelques centimes d’euros. J’avoue que ce marché et ses acheteurs m’intriguent mais je n’ai jamais eu le gêne du collectionneur (une vague période « timbres » enfant mais je n’y étais pas pour grand chose, je devais avoir une tête de philatéliste)(je ne vous juge pas, lecteurs collectionneurs).
Et encore des tas d’autres trucs bien fun mais ce blog n’étant pas dédié aux années 80 je vais m’arrêter là. Comme ce n’est pas non plus un blog dédié aux surprise-party, je vous épargne le récit de la séance de danse en compagnie de ma sœur et de mon fils ainé mais sachez que nous avons bien ri. Je crois que mon père était consterné mais je ne sais pas si c’était du à notre trio des plus chics ou aux choix musicaux du fiston.
En parlant de fiston, que penser du fait que Rigolus m’ait répondu un « yes frangine » à un moment où je l’appelais ?Je ne sais plus quoi faire de ces enfants, si vous avez des idées…
Comme on est dimanche, ce soir c’est pizza. Je voulais vous parler du fromage conseillé par le fromager mais impossible de me rappeler de son nom. C’est quelque chose qui ressemble au Maréchal et il était juste à sa droite dans la vitrine. Je viens de perdre un peu de temps à essayer de le retrouver mais ça attendra visiblement ma prochaine visite au marché. N’empêche que c’était bien bon même si je comprendrais qu’à ce stade, vous auriez aimé des infos un peu plus consistantes.
Dans tous les cas, cette version mi-pastrami, mi-thon (j’ai fait avec ce que j’avais sous la main) a conclu ce dimanche soir sans démériter, avec à l’écran « The great train robbery », un film tourné en 1978, une année que tout le monde aime même si elle commence à dater un peu. Maintenant on va pouvoir s’atteler sérieusement à la partie « blues », on attendait ça avec impatience !
Update : je suis allée chercher la croûte du fromage dans la poubelle (oui, bon, ça va) et avec les indices que j’y ai trouvés, j’ai pu identifier le fromage qui est donc du Kaltbach. Ca va beaucoup mieux.
Bonsoir,
j’adorais la précédente petite brune qui publiait sur ce blog, mais la petite blonde qui la remplace est franchement trop canon. Je suis archi fan, je vais peut-être lancé un fan club. Merci de m’envoyer un dediboobs.
lancer.