Mis à jour le 30 août 2019 par Mme DansMaCuizine
Cette année trouble, cette année terrible, cette année tournant (en vrai ce n’est pas la description de 2018 mais celle de 1917 de mon cours d’histoire du lycée) méritait quand même bien son petit récap traditionnel.
En janvier, je vous racontais le soleil marseillais et la descente du retour. Ma modeste expérience me fait dire qu’aller au soleil les mois de grisaille bretonne expose à un très fort risque de descente. On peut en tenir compte ou se voiler la face jusqu’au moment de monter dans l’avion du retour, c’est selon chacun.
En février, je vous racontais un week-end à Rhuys avec ma soeur, où on avait tout bien réussi d’un bout à l’autre. Et même pas eu froid pour dormir dans le camion pas isolé. Notre astuce ? La couette en plumes. Je vous montrais aussi une photo qui me fait toujours beaucoup baver, celle du club sandwich du brunch avec dedans, un œuf parfait.
En mars, il y a eu des muffins fous à la bière brune. Très décadents si on regarde de plus près la quantité de sucre. Mon conseil : regarder la quantité de sucre uniquement au moment de le peser, ajouter à la recette et oubliez tout ça vite fait.
En avril, je suis allée au Québec sans écrire de billet de blog et sans manger de poutine.
En mai, je suis allée à Saint-Brieuc et j’ai raconté Art Rock. A ma façon (et vous mettrez ce que vous voudrez derrière « à ma façon »).
Petite ellipse, et nous voilà en août avec des energy balls que j’ai faites des tas de fois, de la sangria et de la terrine de champignons, validée et revalidée aussi.
Saut de cabri par dessus septembre et Plouharnel avec ma sœur en octobre. Un doux week-end sans surf. Les oeufs brouillés du petit-déjeuner, dont on aura l’occasion de reparler et qui rendent la vie meilleure. Et un chouette passage à Nantes. Et puis des tapas avec du gochtial, en clin d’oeil à Rhuys (on y retourne quand ?).
En novembre, un restaurant italien à découvrir vite vite vite si vous passez dans le 56 !
Et nous voilà en décembre avec une bolognaise de Noël (ou presque).
Ce petit bilan montre un rythme assez erratique à l’image d’une année disons… sportive. Au sens figuré du terme (ça va arrêtez de critiquer, j’ai surfé tout de même). On verra ce que nous réserve 2019 mais on va dire que je n’ai pas vraiment besoin de changement supplémentaire. Si je peux me porter bien, comme ceux qui m’entourent, et réaliser quelques chouettes projets en profitant des plaisirs simple de la vie, ce sera par-fait.
En attendant, je file chez ma soeur gérer le passage à la nouvelle année. On a décidé de faire un dîner portugais (il n’y aura pas de morue, vous me fatiguez avec vos stéréotypes) et j’espère que Jean-Rémi va très bien réussir le riz au four qui est une petite merveille que je ne suis toujours pas parvenue à reproduire (évidemment que c’est la faute de mon four !). Et puis un brunch le lendemain, je pourrai vous raconter. Là, je file justement finir les bagels. Passez une bonne fin d’année, bisous !