Mon Noël en images #2

Mis à jour le 27 novembre 2022 par Mme DansMaCuizine

Salut ! Comment ça va ? Moi, je suis tellement en forme après mes 11h de sommeil de la nuit passée ! (consécutives aux 4h de la nuit précédente mais que peut-on espérer lorsqu’une soirée de Noël commence à 22h30, sérieusement ?).

J’espère que vous vous êtes régalés et que vous vous êtes réchauffés à la chaleur de ceux qui vous aiment, de leurs bonnes blagues et de leurs mots doux… Je vous raconte un peu comment c’était, mon Noël, du côté du centre Bretagne ?

On a commencé par un apéritif très chouette avec le bon foie gras des parents de notre cousine végétarienne, Kolé (qui a de nouvelles lunettes noires qui lui vont tellement bien). Kolé, c’est aussi la Kolé des dakos, j’aimerais bien être sa coloc mais elle a déjà mon cousin et son travail l’occupe beaucoup, on n’aurait même pas le temps de cuisiner ensemble…

Il y avait aussi de l’andouille, un classique des classiques (et la seule andouille au monde qui vaille la peine, sans doute le truc sur lequel je suis la moins ouverte d’esprit). Je n’ai malheureusement pas pris en photos le thon fumé de Slybard et le velouté de carottes au cumin et les toasts de radis noir et sardines de ma plus jeune tante.

En entrée, un délicieux velouté de potiron aux coques et aux amandes. Pour ce qui me concerne, j’ai élu depuis longtemps le velouté de potiron amélioré « meilleure entrée hivernale de tous les temps« . C’est absolument super bon, c’est facile à réaliser pour un nombre de convives assez important (comme nous qui étions peut-être 26), c’est festif et en fonction de ce qu’on y met, c’est plutôt économique.

Ce velouté de potiron de Noël, ce n’était pas un plat, c’était une leçon de vie sur le bien manger ! Merci marraine-la-bonne-fée…

Mesdames et messieurs, le plat. D’entrée de jeu, petite hésitation de ma part, l’andouille chaude, c’est… heu… disons que je n’en mangerais pas le matin au petit déjeuner mais pas forcément non plus aux autres repas. J’ai quand même décidé de faire confiance à ma talentueuse cuisinière de marraine (en plus j’avais déjà mangé des moules à la crème d’andouille cet été chez le Cénobite).

Résultat : c’était tellement bon ! Vous voyez tous ces petits cubes de tomates ? Et bien, ça faisait un équilibre parfait avec le goût puissant de l’andouille et le cabillaud était cuit à la perfection (clap clap clap). Si on ajoute à ça que c’était original et plutôt « léger », ce plat n’est plus une simple assiette à déguster mais une véritable leçon de vie (eh ouais, encore).

Pour les desserts, l’idée, c’est que chaque cousin amène quelque chose pour qu’on puisse composer le plus fabuleux des « Champagne gourmand » ! Ici, au milieu, des pâtes de fruits faites maison dénichées par An’ (surnom non identifiable) au Champ Commun (oui quand on n’a pas le temps de faire nous-même, on se débrouille pour trouver des solutions). A droite, les panacotta de Kolé et de Deck.

Là, ce sont les mousses au chocolat de ma soeur et de son mecton. J’ai validé ce choix du fond de mon coeur parce que ça faisait des semaines que j’avais envie de mousse au chocolat maison et que parfois c’est meilleur quand on ne le fait pas soi-même. Il me semble que c’est la recette de Trish Deseine dans son bouquin consacré au chocolat…

Une photo floue du gâteau breton du cousin-qui-chante-dans-les-arrosoirs et de sa douce ! Avec la mousse au chocolat, ça fait une combinaison très sympa (le gâteau pas le cousin-qui-chante-dans-les-arrosoirs). On a essayé de trouver la bonne équation pour se convaincre que gras + gras = léger  mais en vrai, ça marche pas…

A droite, les mendiants aux fruits frais de mes cousines (les filles de la jeune tata du velouté de carottes au cumin… vous suivez j’espère), une idée très sympa (et les seuls fruits frais présents sur la table, merci).

Normalement, il y a aussi un frère dans cette branche de la famille mais je pense qu’il n’avait rien fichu (la barbe rousse, la marque des grands fainéants). A gauche, le brownie-cheesecake du Café Albertine (meilleur que si je l’avais fait moi-même, donc merci Solenn).

Les muffins glacés de Nat’ (je mets des pseudos pour préserver l’intimité de chacun mais certains sont quand même plus pistables que d’autres. (Mais c’est mieux que Nathaloche, non ? Tu me diras si tu passes par là cousine…)



Et enfin… Ah non enfin rien du tout parce que Slybard et Jennifer étaient venus les mains vides de déssert ! Mouhahaha… En même temps, on ne peut rien dire parce qu’ils avaient amené du thon fumé, un vélo pour mon partenaire de vie et même leur petit garçon qui est tellement irrésistible (sur la photo, un avatar de ce petit boy, toujours pour préserver l’intimité de chacun).

Ceci n’est qu’un modeste résumé, mais ce Noël 2014 c’était aussi : une nouvelle maison très canon, un chaton que j’aurais bien embarqué, des casse-têtes qui nous ont bien occupés, des ossariums vénètes devant la porte d’entrée, des grands enfants de 30 ans qui se font gronder par leurs parents parce qu’il est l’heure d’aller se coucher, « Brad » écrit en étoiles dorées, des litchees pour ma soeur, des huîtres et du muscadet pour se remettre les idées en place, un ciel flamboyant sur la route du retour et des enfants qui restent dans le Morbihan pour quelques jours… C’était bien, quoi.