CHEESE NAANS

Mis à jour le 30 décembre 2015 par Mme DansMaCuizine

On est bien d’accord, cette recette de cheese-naans est déjà présente douze millions de fois sur le web mais mes lecteurs chéris me la réclament et moi, je fais tout ce que vous dites (pour peu que ça m’évite de réfléchir) ! Pour ce qui est de son origine, bien malin qui saura la trouver : de mon côté, elle a été notée sur un bout de papier il y a fort longtemps… C’est cette recette que je fais le plus souvent parce qu’elle est rapide (toute proportions gardées) et que je la connais bien. Sinon, je teste d’autres compositions et d’autres modes de cuisson qui se révèlent facilement aussi bien ou même meilleur. Il faudrait que je fasse une galerie de photos ! (En ce moment, j’ai celle-ci dans le collimateur et puis une avec de l’avocat à la place du yaourt, je me meurs de devoir attendre pour essayer !!)…

Les ingrédients :

• 350 gr de farine
• 1 cuillère à soupe d’huile
• 1/2 sachet de  levure chimique
• 1 yaourt nature brassé
• eau, sel
• du fromage fondu, autant que vous pourrez en caser (1 portion 1/2 par naan environ)

On mélange la levure, le sel et la farine. On creuse un puits au milieu.

On met dans le puits l’huile, le yaourt et un peu d’eau, on mélange.

On incorpore la farine petit à petit, en ajoutant de l’eau : on doit obtenir une boule de pâte souple et peu collante, facile à manipuler.

On la laisse reposer une dizaine de minutes.

On sépare en 6 boules.

On étale les boules finement, on garnit de fromage fondu, on referme.

On cuit sur une poêle bien chaude : on retourne quand des bulles d’air se forment et ça va vite.

On badigeonne de beurre fondu pour la dégustation. Avec un curry, c’est bien. Avec le butter chicken d’Akash de feu le resto indien rue de St-Malo, c’était pas mal du tout. Mais ça fonctionne aussi avec une belle salade par exemple.

On se retrouve bientôt avec du naan à l’avocat ??

« Madame Dansmacuizine ?

– oui ?

– c’était bien le concert de Monsieur Roux ?

– ah oui, c’était bien ! Si on met de côté qu’en emmenant un fils de 12 ans coiffé de locks, j’ai du lui expliquer qui était le « Petit Rasta » de la chanson, puis ce qu’était une « P’tite Pouffe » pour ensuite critiquer l’intolérance ambiante vis-à-vis de la prostitution des mères de famille (Pour ce qu’il convient de faire avec des livres sacrés, on va dire qu’il connait déjà mon avis sur la question). Je connais pourtant bien ce premier album, je savais tout ça… Je m’estime heureuse qu’il n »ait pas soulevé de questions sur l’utilité de prendre la France par devant et par derrière… Aussi, honte sur moi, j’étais persuadée qu’il pourrait entendre cette chanson qu’il adore « Les week-ends en Mayenne » mais ils n’ont pas été mis au programme (je ne m’y connais pas bien en artistes)… Au moins cette chanson, lui aura fait découvrir que Mayenne et Mayotte n’étaient pas tout à fait au même endroit, comme quoi, le pouvoir de la musique… Bref, j’y retourne sans lui dès que possible… »